De retour sur les
terres du Pandémonium
Tout commença lorsqu’un mois auparavant Kion reçu cette missive
- Citation :
- Vendui‘ Maître !
Nos actions pour faire renaître et instaurer de nouveau la paix sur les terres de Mémoria Sortis se font progressivement, bien assez tôt nous serons enfin prêt à ne plus être obligé de travailler dans l’ombre.
Je ressors d’un cycle d’entrainement très rigoureux à l’exercice de la magie de mon peuple que mon premier général nommé Rahzel a été capable de m’enseigner.
Quand vous recevrez ce pli, je serais déjà dans le bateau pour rejoindre vos terres et je passerai vous voir immédiatement dès mon arrivée.
Aluv’ Maître
Ravel »
Un mois venait de s’écouler depuis que Kion avait reçu ce message de Ravel…
Puis au
coucher du soleil un bruit de pas
se faisait entendre dans le couloir qui menait
à la salle du trône…
Kion : Ravel ! enfin mon ami !
Ravel : Vendui’ Maître !
Puis il prirent l’un contre l’autre comme de vieux amis
Kion : Alors racontes moi tout !
Que se passe t’il sur ces nouvelles terres ?
Ravel : Tout
se passe comme prévu pour le moment, Rahzel est
resté là bas afin de finir les derniers
préparatifs pour notre première véritable action
Puis la conversation continua le temps que tout soit
mis au clair.
Ravel : Maître j’ai une requête à vous faire !
Kion : Ah oui ? et laquelle est ce ?
Ravel : J’ai besoin dans savoir plus ! Toujours plus !
Kion : A quel sujet ?
Ravel : La magie des Nécromanciens
Kion : Tu sais comme moi que je n’
ai pas le droit de l’enseigner
Ravel : Vous dirigez ce monde, que voulez vous que l’ont vous dise ?! Apprenez moi .
Kion : Oui certes, mais je ne peux !
Ravel : Maître…
ais-je
refusé de vous servir sur ces
nouvelles terres ?
Kion : je te l’accorde…
Mais penses tu être prêt pour cela ?
La nécromancie n’est pas une magie de sombre, ni d’orc et encore moins d’elfe,Tous tes sentiments, tous ce que tu ressent finiront par disparaitre, la douleur, la peur, le joie, le bonheur...tout disparaitrons et reviendrons mais de façon différentes; cette magie te dévore ton âme en permanence jusqu'à ce que tu la
perdes définitivement, tu penses vraiment être prêt
à cela ?
Ravel : Oui Maître !