Mémoria Sortis
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Mémoria Sortis

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 {BG Reroll Orc : Hurloon Fenrir}

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3 participants
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Sathaniel

Sathaniel


Nombre de messages : 8
Date d'inscription : 09/06/2009

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MessageSujet: {BG Reroll Orc : Hurloon Fenrir}   {BG Reroll Orc : Hurloon Fenrir} Icon_minitime24/6/2009, 16:15

Prénom : Hurloon
Nom : Fenrir
Race : Orc
Age : entre 150 et 200 ans.
Sexe : Masculin
Alignement : Loyal Mauvais

Caractère : Vieux mais très jeune dans sa tête. Il se donne régulièrement des
répliques dont il n'a plus vraiment la force d'assumer les conséquences. Il est
dominateur, aime vivre jeune, vu le temps qu'il a passez dans une geôle, et
préférera mourir plutôt que d'y retourner.

Description physique : Plutôt petit pour un Orc (1m80, ce qui lui fais ouvrir
plus grand sa gueule, bien sûr ...), mais robuste (une bonne centaine de kilo)
Hurloon ressemble à un Orc typique, la taille en moins. Avant son histoire,
c'était un Tyrant accomplit. Il est musclé, même au delà des sourcils, mais son
impatience le met souvent dans des situations que son intelligence lui
permettrait d'éviter.


Relations avec les races:

Elfes : Des microbes qui mouillent. La plupart ne sont pas a craindre, si tu
frappe avant qu'il ne te jette un sort.

Elfes Noirs (Sombres) : Trop attirant pour ne pas être fourbe et cruel. Savent
usés de tout ce qu'ils ont pour arrivé a leur fin. Je les aime bien, il me
ressemble un peu.

Humains : Eux, ils ont su tirer leur épingle du jeu ! A ne pas sous estimer,
leurs union fais la force, et moi, je me suis fais avoir par eux une fois. Pas
deux !

Orcs : Mes frères et sœurs. Quelle joie de vous revoir. Mais m'emmerder pas
trop : vous m'avez quand même abandonner durant tout ce temps.

Nains : Des humains minuscules. Sauf que eux, ce qu'ils veulent c'est posséder
l'argent entier de la planète. Pis ils font du bon matos. Utile, pour mon
re-apprentissage.

Kamaels : J'ai pas bien vu, ils ont une aile, non ? Les hommes et les femmes
n'en ont pas une chacun de leurs cotés ? Non ? Dommage, j'aurai bien fais une
thèse la dessus. On verra ce qu'ils valent/veulent.


Passé de votre personnage :

Pour sûr, j'en ai vécu des saloperies. Mais des comme celle là, jamais. Et
franchement, ça donne à réfléchir sur la vie et la mort. Et sur le type de
nourriture qu'on peut ingurgiter quand on veut vivre, aussi.
J'm'appelle Hurloon. Avant, je me battais avec mes poings et ça m'allait très
bien. Mais mon séjour dans l'endroit d'où je viens de m'échapper vous change un
homme. Et même un Orc. Mais le fait d'y avoir survécu vous donne vraiment une
importance dont vous avez besoin pour reprendre la vie du bon pied.
Tu veux en savoir plus gamin ? Ok, je vais te raconter.
L'entraînement, y'a que ça de vrai, qu'ils disaient. Moi, ça me faisait chier
au possible. Taper sur des bout de bois, ou sur d'autre des miens, en devant me
retenir de tuer, c'était vraiment pas mon truc. Et donc, un jour, j'ai sécher
cet entraînement pour suivre un groupe de chasseur dehors. Y'avait eu la
guerre, peu avant. Et On devait faire profile bas à cette époque, parce que les
humains se prenaient vraiment pour les maîtres du monde. Moi, prétentieux et
imbu de moi même, je m'en foutais. Je les avais suivit. Je voulais me battre,
pour tuer. Et j'en ai eu l'occasion. Une bande d'humains a croisé la route des
chasseurs, les attaquant sans pitié. Moi j'ai sauter dans la mêler. J'ai frappé.
Je me suis servit de mon entraînement et je peux vous assurer que je prit mon
pied comme jamais à ce moment là. Les humains, bien que nombreux, reculaient
devant la hargne farouche dont notre groupe faisait preuve. Je me sentais
vivre. Mais qu'est ce que j'allais me prendre en rentrant avec eux : j'avais
surprit des regards qui m'indiquai clairement que je n'avais rien à faire ici !
Pas grave... Du moment que j'avais ce que je voulais...

Je m’interrompis un moment. Les trois jeunes Orcs qui avait fais sauter leur entraînement
me regardaient. Très bien, j'avais capté leur intention. Je reprit donc d'une
voix plus grave :

- C'est là que le combat changea. Les humains que nous pensions en train de
fuir... Reculaient juste pour que d'autres puissent les rejoindre. C’est lâche,
un humain. Et ça ne sait pas se défendre tout seul, car nous sommes vraiment
plus fort. Mais ils ne sont pas débiles. Et quand ils sont perdus, ils
deviennent plus fourbes que les Elfe Noires. Vous n'en avez pas connues ? Grand
bien vous fassent. Ce ne sont pas des exemples pour des esprits aussi jeunes
que les vôtres. Et quand, au final, une troupe d'humain deux fois plus grosse
que celle que nous affrontions nous tomba dessus... Bah ... je ne sais plus
trop. Il me semble que j'ai finit par me prendre un coup de trop. Que j'ai fermé
les yeux et que toute ma fougue, toute ma jeunesse et toutes mes idées de
combat ... Étaient fausse. Je n’étais pas assez fort. Voilà a quoi servait l'entraînement.
Et pire. Peut être que certain des combattants ont essayé de me protéger. Si ça
se trouve... Nous avons perdu cette bataille à cause de moi.

Je laissais un nouveau moment de silence. Les jeunes se dirent que c'était la
fin de leur punition, vu que la morale était faite. Quand l'un d'eux fit un
mouvement je le regardait aussitôt d'un air méchant.

- Dis donc, toi ! Tu vas où comme ça ? Tu as cru que je vous avais fait une
petite histoire moralisatrice et que c'était finit ? Non… Ce qui pourrait vous
attendre arrive maintenant ! Il y a pire que mourir par la main des humains à
cause d'une séance de chasse, en se disant que c'est de notre faute. La
personne qui a pu faire mourir ces frères a pu survivre. Et pas de la manière
dont on l'espérait. J'avais visiblement capté le regard des humains. Et pour
une raison que j'ignore je me suis retrouvé enchaîné dans une cellule d'un très
sombre cachot. Avec un elfe et une naine. Il me mirent vite au parfum : Ici,
c'était le bordel : Les gardes t'emmenait, tu combattait. Tu survivais, tant
mieux, tu mourrais et on te revoyait plus. Visiblement, des personnes s'amusait
à faire des paris sur l'issu des combats. Je maudissait et vénérait Paagrio en
même temps. Il m'imposait le fait de vivre alors que j'avais sûrement causé la
mort de mes compagnons. Je le vénérais, car ma vie allait vraiment prendre sens
à ce moment là. L'elfe et la naine semblaient d'excellent combattant. A chaque
fois qu'un garde l'emmenait, il revenait. Pas forcement sans être blesser. Mais
il revenait toujours. Et moi même je me retrouvais dans cette petite arène de
quatre mètres sur quatre. Amusant de faire affronter des personnes, y compris d’autres
humains, à quelqu'un qui voulait se battre pour tuer et qui n'avais pas besoin
d'armes.
Je suis toujours revenu presque indemne de mes combats. Et je remercie Paagrio
de ne pas m'avoir fais rencontrer de frères. Sinon je pense qu'on serait mort
lui et moi, car je n'aurai jamais lever la main dans ses conditions sur un des
miens.

Je jetais un nouveau regard sur l'assemblée. Les jeunes semblaient de nouveau
plonger dans mon récit, et c'était parfait. J’en arrivais à la scène que je
voulais qu'ils entendent.

- Mais un jour... Après un temps que je peux estimer maintenant à une centaines
d'années, il y eu du vacarme. Des bruits de combats, de luttent. Au delà des
geôles, ont se tuait. Pour qui ou pourquoi, j'en savais rien. Mais mes deux
compagnons de cellule l’avaient remarqué aussi. Et du coup, on fit le plus de
bruit possible pour nous faire entendre. Avec un peu de chance, ceux qui
s'entretuaient allaient nous libérer ? Faut pas rêver. On fut laissé pour
compte. Et le soir, une chose étrange nous apparus : la faim. À défaut d'être
bien traité, nous avions le droit de manger, tous les soirs. Pour continuer de
combattre. Mais la, le garde ne venait pas. Le lendemain non plus. Et moi, je
peux vous assurer que je ne crache pas sur un repas. Heureusement que l'entraînement
et la méditation m’avaient apprit à économiser mes forces. Et les porte de la
geôles qui semblait plus dur que le mur lui même... Je méditait et sommeillait
longuement, pour éviter de mourir de faim dans cet endroit, tout en
réfléchissant aux options que j'avais. Le troisième jour, je regardais l'elfe.
Il ne semblait pas vraiment gêner par la faim mais moi, je commençais à la
ressentir trop sérieusement. La naine commençait a rouler des yeux fou, entre
deux crises de violence ou elle frappait la porte à coup de poing. La faim la
tenaillait. Donc je pouvais en faire quelque chose.
J'attendit que l'elfe s'endorme et commençait à chuchoter à la naine que nous
ne nous en tirerions pas. Pas sans manger. Elle me regarda avec des yeux fous.
Bien, elle était sûrement a point pour ce que j'avais a lui offrir.
" Je ne vois qu'une solution. Nous tuons, et mangeons l'Elfe. Ensuite, on
commence à attaquer le mur avec ce qu'on trouve pour faire un trou, et/ou virer
cette porte. "
Elle semblait prête a refuser. Je le vis parce qu'un éclair de lucidité passa
dans ses yeux. Et ça, c'était mauvais pour moi, il fallait que j'agisse tout de
suite. Je me levait, et dans le même mouvement cassa la nuque de l'Elfe
allonger et endormit. La naine s'apprêtait à crier, mais, dans un sens
pratique, se rendit compte que ça n'aurait rien changé. L'elfe était mort, et
personne ne serait venu parce que je l'avais tué.

La je ne fit pas vraiment de pause, mais je regardait chacun des jeunes devant
moi dans les yeux. Ils comprirent parfaitement ou j'allai en venir et aucun
d'eux ne semblait particulièrement content d'entendre ça.

- Je choppais la jambe de l'elfe. Et la tordit, mais pas dans le bon sens. La
rotule cassa ainsi que le reste. Heureusement pour moi, et la naine, cet elfe
là était musclé. Au moins, on a eu quelque chose à manger. Et ça, sa faisais du
bien. Et le plus drôle, c'est que les os de l'Elfe faisait des matériaux tout a
fais potable pour commencer a travailler le murs et la porte. Mais il
commençait a sentir mauvais. Et bientôt, sa "viande" serait avarié.
La naine avait finit par céder a la faim, même si je devait lui arraché des
bouts de viande plutôt que de la laisser que de les manger sur l'elfe. Bref, On
commença a manger a notre faim, sans vraiment économiser la viande. Et le
travail progressait. Doucement, mais sûrement. On avait commencé à desseller de
nombreuses pierres. Certes, nous ne pouvions pas encore sortir. Mais on voyait
le plan avancer. Et avoir un objectif empêche de sombrer dans la folie. Mais
quand l'Elfe fut finit ... La tension monta. On ne pouvait toujours pas sortir,
et c'était sûr. Et la naine se disait, à juste titre, qu'il allait falloir
continuer de manger, pour continuer à travailler. Et là, ça allait être elle ou
moi. On c'est battu aussitôt après que l'Elfe fut finit. Hé bien elle était
coriace. Très. Dans tout les sens du terme, d'ailleurs !

J’éclatais d'un grand rire bien gras à ma " bonne blague ". Les
jeunes ne semblaient pas tant dégoûtés que ça. Mais aucun ne semblait apte à
rire pour l'instant !

- J'ai continué à travailler, mes blessures se soignant douloureusement. La
porte finit par tomber à force de travail. Quand les os furent finit, je passais
à ceux de la naine. La porte bougea légèrement un beau jour. Je me suis lever
immédiatement et est foncé sur la porte de toutes mes forces. je me suis casser
une cote au passage... mais la porte, et les rivets qui la tenait dans le mur
tombèrent. Après, je me suis barré. J'ai errer un moment avant de retrouver ma
route et de revenir ici. Et maintenant, j'ai lâcher mon entraînement de Tyran
pour devenir quelque chose qui me parait plus adapté à ma nouvelle forme, comme
vous pouvez le voir, mes muscles sont ... Moins entretenu qu'avant. La
malnutrition fait souvent cet effet là. Mais également le manque et l'absence
d'entraînement.

Je les regardais une dernière fois.

- Là c'est bon, j'ai finit. Vous pouvez y allez.

Ils me regardèrent d'un air étonné. Ils pensaient que c'était maintenant que
j'allais leur expliquer l'importance de l'entraînement. Mais je ne sert pas a
ça. Les Orcs sont moins bête qu'il n'y parait. Et les faire réfléchir s'avèrent
parfois bien plus efficace que les "gronder" ou leur flanquer une
volée. Moi j'avais eu de la chance. Mais je ne souhaitais à personne ce qui
m'était arrivé.
J'en étais là dans mes pensées quand la fille du groupe revint me voir, alors
que les autres partaient en regardant devant eux, sans rien dire. Elle me dit :

- La chaire d'Elfe... ça a quel goût ?

Pourquoi je sentais qu'il allait falloir la surveiller, celle là ?
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Zaknafein

Zaknafein


Nombre de messages : 125
Date d'inscription : 21/06/2009

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MessageSujet: Re: {BG Reroll Orc : Hurloon Fenrir}   {BG Reroll Orc : Hurloon Fenrir} Icon_minitime26/6/2009, 11:57

j ai bien aimé ce récit,bien écrit,clair mais par contre.....ça a quel goût un elf?:p
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wankYboy

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Date d'inscription : 28/01/2009

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MessageSujet: Re: {BG Reroll Orc : Hurloon Fenrir}   {BG Reroll Orc : Hurloon Fenrir} Icon_minitime30/6/2009, 23:09

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MessageSujet: Re: {BG Reroll Orc : Hurloon Fenrir}   {BG Reroll Orc : Hurloon Fenrir} Icon_minitime

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