Prénom : Norisca
Nom : Inconnu
Race : Elfe sombre
Age : inconnu
Taille : 1m80
Poids : 70kg
Cheveux : Long et noire, avec quelque mèche mauve qui s’entremêle dans deux nattes, noué par des breloques et de petit ossement.
Yeux : couleur Améthyste
Physique : Corps souples et gracieux, ses muscles sont fins et allongés. Forme généreuse. Sa peau est soyeuse.
Alignement : Chaotique Bon
Classe : guerrière
Caractère : Elle adore faire de nouvelle rencontre. Ne connais pas et ne veux pas endosser le rôle de raciste, acceptante toute les races, mais tolère mal les gens malsain, peux importe leur race. Elle n’aime pas être confrontée à la détresse et la souffrance.
Je ne me rappelle rien de vraiment très concret, sur mon enfance, à croire que j’ai voulue tout oublier. J’ai aussi l’impression de toujours avoir vécue dans une auberge de passe. La vie y était dure mais douillette à la fois. Les « employées » à vocation peu farouche avec les clients, étaient très gentilles avec moi, j’ai pour ainsi dire eue cinq mères aimantes et protectrices. Venant de presque tout les peuples, mais surtout des humaines et une naine. Ces cinq mères apprirent aux cinq mères suivantes à prendre soin de moi, comme si j’étais encore trop jeune a leur yeux pour le faire, mais cela fut tout de même fait et je leur suis reconnaissante, jusqu'à ce qu’une mère sombre viennent travailler a l’auberge.
Cette nouvelle mère sombre, m’appris les rudiments de ma langue natale, la danse et une légère connaissance de la déesse qui gérait mon peuple. C’est également elle, qui m’apprirent à manier les lames, elle m’enseigna les bases de son art, danseuse de lame. Elle était si belle lorsqu’elle se mettait à danser que je me rappelle avoir vu plus d’un homme saliver dans sa choppe à la regarder.
Je grandis en grâce et en beauté. Le patron, Viktor, m’envoya même à l’école, apprendre à lire et écrire convenablement, je soupçonne mes mères d’y avoir été pour quelque chose, même lorsque je demandais d’aller faire des études un peu plus poussé, il ni émit pas d’objection, mais il m’envoya à une de ses amies, Rollanda, elle m’apprit l’art des massages, huiles et herbes, car pour Viktor, cela devait être rentable. Donc lorsque je terminais mes études, je revenais à l’auberge, avec un nouveau service, le massage. Donc à partir de ce jour, à part le service aux tables, une danse de temps à autres pour éblouir les clients, il m’arrivait régulièrement de masser les hommes qui passaient et voulaient se détendre avant de prendre du bon temps.
Les années défilèrent et Hermann, le fils de Viktor, pris le relais de l’auberge, celle-ci s’enlisa quelque peu, perdant le prestige que son père avait réussis à lui donner. Des hommes de tout acabit venaient prendre plaisir dans cette auberge autre fois, très respectable.
C’est difficilement que je réussis à garder ma vertu, ne voulant pas être incluse comme employée de charme.
Malheureusement un soir, des hommes et des orcs, ivres, décidèrent de m’importuner plus que nécessaire. Voyant que je refusais toute avance, un des hommes alla voir LE Patron, combien de fois Hermann nous avait répété et répété qu’il était LE patron. Donc ce fameux soir LE patron a décidé que je devais accepter, car l’homme me voulait et pas une autre. J’avais beau protester, il me donna un ultimatum, c’était soit que j’acceptais ou je prenais mes jambes à mon cou et quittait SON auberge. C’est donc avec un pincement au cœur, mais aussi en ayant envi de l’étriper que je quittais l’auberge.
Malheureusement on me rattrapa rapidement et deux hommes décidèrent de me ramener de force.
Ils me firent entrer dans l’auberge, sans même que j’ai à mettre le pied au sol, j’atterris sous une table occupée par des orcs.
Un des orcs ce pencha et me regarde en fronçant les sourcils. Il me dit de rester sagement là, il se leva lentement et un bruit de dispute et ensuite de coup se firent entendre. Prudemment je regardais de par-dessous la chaise et je vis des orcs se battre contre les humains.
L’orc qui m’avait dit de rester sous la table la déplaça et me tendit la main pour que je me relève. C’est avec un peu de crainte que je la pris, mais une fois que je vis ses yeux, je lui souris, étrangement ses yeux était doux et apaisant. Le patron, Hermann, s’énerva et les jeta à la porte. Je suivi donc mon protecteur de la soirée, j’appris qu’il s’appelait Malrok et qu’il était la pour le dernier soir avec ses copains. Après avoir mis deux kilomètre entre nous et l’auberge, il m’offrit de me reposer et qu’il ferait le guet, de ne pas avoir de crainte. Étrangement je savais pouvoir lui faire confiance et je me reposais, ma première nuit sous les étoiles.
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Sujet: (reroll:bg sombre) Norisca 
13/7/2009, 07:40