[ BG Nain ] Mushu

Prénom : Mushu

Race : Naine

Sexe : Feminin

Classe Visée : Maestro

Alignements : Chaotique/Neutre


Âge : Environ une douzaine d'année

-------

Une femme recouverte par un drap noir terrifiait le peuple nains depuis quelques lune déjà. Une naine qui semblait plutôt jeune de pars le peu de visage que l’on distinguer d’elle, qui herait dans la nuit, dans un silence serain que meme le bruit de ces pas n’osait rompre. Sa solitude semblait charmée par un vent de tristesse digne d’une tempete. Elle herait en tenant son ventre qui semblait etre plutôt rond. Puis un beau soir de pleine lune des cris se firent entendre et par la suite des pleurs. Des pleurs d’enfant. Dans cette sombre nuit, la femme venait de mettre au monde une charmante progeniture. Mais les larmes de cette mére coulerent sur son visage puis tomberent sur la peau de son enfant. Cette mysterieuse dame ce trouvait devant une ancienne mine naine, qui ell même ce trouvait prés d’une clairiere, dans l’eau la lueur de la pleine lune refletait puis une priere ce fit entendre… :



« Ô Grungni,
Ouvreur du Monde Souterrain, Entends-moi.
Ô Grungni, Pèlerin des
chemins Secrets, vois ma souillure.
Ô Grungni, Coeur de Pierre et
D'Acier, accepte mon hommage »


A ce moment la mére posa son enfant au sol, puis une lueur verte jailli du sol, entoura l’enfant et rentras dans les yeux de celui-ci. Ce spectacle a l’allure de magie pure était plutôt magnifique. Or la suite l’était moins.. Alors que l’enfant pleurer la mére, le regarda puis l’embrassa sur le front.. Dans une finesse plus ou moins elegante, la femme voilée ce leva puis d’un acte magistral et vif sorti un poignord en argent de sa robe puis se transperca le cœur. Le corps agonisant de la mére tomba a genoux pres du corps de l’enfant qui pleura de plus belle. Le sang entourra le bébé, qui lui fit coloré son crane.


Puis surgit un elfe plutôt etrange qui sauta d’un arbre. Il avait fiere allure dans ses habits qui semblait noble, il avait dans sa main droite un arc en or. Ses cheveux blonds refletait la lueur de la lune, une longue tresse lui
passait sur le torse, puis au bout de celle-ci une fleche.. Il semblait gracieux et sage. Sans bruit il s’approcha du corps de la femme puis le porta pres de la clairiere. Il le posa delicatement sur un rocher avoisinant. Quant a l’enfant il s’en saisi avec beaucoup de tact puis lui rinca doucement le visage avec une feuille de saule imbibé d’eau. En contact avec le crane du nouveau né la feuille devint glacé puis rouge. L’elfe ne sembla que plus ou
moins surpris, il regarda de plus pres la feuille puis la mis dans sa poche.


Le nouveau né, une fois « lavé » deposé sur un rocher tandis que le pâle se retourna vers le cadavre
maternelle puis se mit a incanté. Alors une lumiere divine argenté entouré le pâle et le corps sans vie, l’elfe voguait dans les airs a quelques centimetre du sol et le corps se diriga au dessus de l’eau, l’elfe frappa dans ses mains et le corps retrouva vie se redressant au dessus de l’eau argentée, elle sourit et l’elfe s’inclina devant ce qui semblait etre un ange. Puis une fois relevé cette apparition ferma les yeux, et l’elfe prononca un dernier mot. A ce moment le corps de la mere se transforma en un arbre d’une beauté eblouissante. Ses racines prenait pieds dans l’eau, et au niveau du tronc on pouvait distinguer la forme du corps de la defunte
qui semblait serain et enfin en paix.


L’elfe contempla l’arbre puis s’inclina en signe de respect, il se retourna et contempla l’enfant a la lueur de la lune. Celui-ci possedait des yeux verts intense, d’une beauté troublante. Son crane était toujours de couleur
rouge claire. Il deposa un baiser sur le front de l’enfant. Et chuchota doucement quelques doux mots a son oreille.


Le pâle regarda l’arbre une derniere fois. Puis envellopa cette enfant des dieux dans un vetement de soie. A la lueur de la lune on pouvait voir ses deux être s’eloigné, ne regardant pas le passé derriere eux.

Le peuple du village eu ouie dire de cette histoire, a compter de ce jour il considere l’arbre de l’eau comme source de vie et adresse maintenant un culte a cette arbre.





~

Dimerche Chwefror

Il y a maintenant 11 années de cela, dans une nuit argenté que cette enfant fut mienne. Onze années deja. . . Le temps passe t-il trop vite? Elle est maintenant grande.. Cette petite a qui j'ai donner le nom de Mushu. Cette enfant des dieux.. entouré d'un mystere intense. Onze années sont passé et je decide ce soir de confier mon coeur.

Onze ans, pleine de vie et d'ambition. Devrait je donc la laisser partir? Elle, que j'ai considerer comme mon enfant.. Ma fille, mon ange... Elle qui ne tiens plus en place, a la simple idée de decouvrir le monde et les êtres
qui le peuple.


Dans tout les cas, je me
doit de la laisser partir. Le peuple me rappel, je ne pourrais pas
l'ammener avec moi pour ses tristes missions qui me sont confier.. Je
ne doit pas lui infligé cette vie.. Cette vie de chasse et de
reconstruction.


Aprés tout
l'enseignement que je lui es donner, elle es apte maintenant. Je
l'espere de tout coeur.

Dans l'espoir qu'elle ne
perde pas les valeurs que je lui apprit au cours de ses années. Dans
l'espoir que sa vie soit heureuse.

La fin d'une histoire,
le commencement d'une autre. Sans doute et je l'espere fortement, que
nos routes se retrouveront le plus vite.

Prince Elrond Tîwele

• 
  cette page
  arrachée, mise dans un livre encore vierge, de la meme ecriture
  nous y trouvons la chose suivante -
  

Ma chere Mushu,

Ma tendre fille, que j'ai
elevé et formé. Mon amour, mon âme. Toi qui ma tant apporté sans
le vouloir. Ces mots pour te dire simplement, que maintenant tu es
parti. Et que je t'ai remis a ton depart ce livre vierge, dans lequel
je souhaiterais que tu ecrive tes mots. Tel un journal intime, garde
le precieusement. La plume que je t'ai mise dans le livre, est la
plume de l'oiseau magique, du château dont je t'ai tant parler.
Garde la precieusement et ecrit avec elle, cela me ferais plaisir.

J'espere que ta route
seras bonne, parsemé de rencontre qui te feront evoluer. N'oublie
pas, tu a un talent pour la conception de tout et n'importe quoi.
Profite en. Evolue avec ce don et ta vie n'en seras que meilleure.


Quand a moi, je te
porterais toujours dans mon coeur. Tu le sais aujourd'hui et je te
demande de ne jamais oublier cela.

J'espere te revoir un
jour, car je sais que a l'instant ou tu a franchi la porte de la
maison mon coeur c'est emballer. Et lorsque je te reverrais jespere
que tu seras capable de me battre encore en duel.

Mene une vie agreable,
j'ai fait tout ce que j'ai pu pour toi et j'espere que cela fut
suffisant.


N'oublie jamais a quel
point je t'aime.


J'oubliais une chose,
lace tes chaussures pour ne pas finir par te faire mal. Et ne prend
pas trop de tes sucreries.


Ton pere.


Elrond.




~

Le commencement de
l'aventure




Les mois passerent
doucement, tandis que la petite naine fit son chemin a travers des
centaines de paysages. Son voyage parsemé de decouverte et de
rencontre en tout genre, fut ecrit dans son livre avec la plume qui
lui fut donner. Chaques petits evenements fut rapporter a la lettre,
pour satisfaire les derniers souhait d'Elrond.

La petite vie de la
naine, durant ses mois fut paisible. Même si, au fond de son coeur
d'enfant, rester cette terrible blessure d'avoir perdu ce qu'elle
considerer comme son pere. Ce sentiment, qui grandissait chaque jours
en elle, fit d'elle un petit être faible qui marchait dans la
melancolie et s'y perdait au fil du temps qui tournait.


Les jours passait et la
bourse rempli de la naine perdait de son ampleur. Alors, comme son
maitre lui eu appris, elle mit c'est talent en oeuvre.


Tout d'abord, elle fit
halte dans une petite ville où le passage etait frequent. Ayant
parcouru les environs et trouver une maison abandonné dans laquel
elle posa bagage, elle decida d'y ouvrir son atelier. Avec des
materiaux benin et une canne a peche, elle reussi a se nourrir. En
effet dans le village, il été peu commun d'etre doté d'un talent
de constructeur et de pecheur. Ce fait etant donc une chose rare, le
commerce de la naine fit franc succés.

Or, le village fut prevenu d'un
danger ma foi benin mais fort genant : dans les villes voisines, des
actes de banditismes furent alerté auprés des nobles des villes
concerné. La naine, n'ayant nul crainte pour elle et sa ville ne se
mit pas a l'abri et les affaires reprirent un cour normal.

Par une nuit douce et somptueuse,
Mushu decida de partir pecher. Selon les dires de son pére : «
la peche est plus fructueuse la nuit, lorsque le silence reprend son
regne sur la terre »

Lors de cette petite partie de peche
au grand air et surtout au calme, des bruits se firent entendre aux
alentours. Legerement inquete et faisant mine de rien entendre, la
naine vaquer a ses occupations. Lorsque soudain, des bruits de pas
qui ce sont voulu discret ce rapprocherent d'elle.

Lachant sa canne a peche
soudainement et sortant une petite dague de sa botte ( lacée qui
plus est ), elle regarda attentivement puis apercu juste devant elle,
quatres hommes. Quatres hommes aux allures de brigands. La dague
pointé en leurs directions. Les hommes se rapprocherent doucement
degaignant a leurs tours leurs armes sales, tachés de sang.


D'une voix forte et autoritaire, le
plus grand et le mieux armé des hommes prit les devants, reclamant a
la naine son argent et tout ce qu'elle avait. Celle ci refusant
formellement de ceder d'une telle sorte ses biens fut donc confronter
a la violence du regard des hommes sur elle. A ce moment, elle senti
le danger. Tandis que les trois hommes qui etait positionner a
l'arriere se rapprocherent doucement, prêt a l'attaquer, elle remis
la dague a sa botte puis serra rapidement ses lacets. Les hommes
s'approcherent de plus en plus rapidement tandis qu'elle rester de
marbre face a eux, les yeux fermer comme attendant. Les trois hommes
sauterent sur la naine, sur le regard dominant de leur maitre.
Malheureusement pour eux, la naine d'une rapidité hors du commun et
grace a sa petite taille etait deja passer entre leurs jambes. Le
maitre des hommes hurla de la suivre et de a tuer.


Durant quelques minutes une course
entre les arbres et les maisons de la ville fut engager. La naine ne
desirant ameuté toute la ville, se fit discrete essayant tant bien
que mal de ce faufiller entre les maisons. Mais ce qu'elle n'avait
pas prevu, etait le fait que les hommes l'avait, sans le vouloir,
encerclé autour d'un petit croisement. Les trois hommes arriverent
sur la place, par trois chemin different, avec derriere l'un d'eux
leur maitre esquissant un fin sourire surnoi.


La seule issu possible etait le
chemin sombre, qui se dresser derriere Mushu. Ce chemin etant connu
pour etre très dangereux, car rempli de trous assez profond, que
l'on ne peut pas distinguer clairement dans la nuit.


Les hommes se rapprochant doucement,
elle ce decida en avalant sa salive de reculer doucement dans la
fameuse ruelle. Restant face aux hommes pour veiller leurs mouvement,
d'un pas incertains elle faisait sa route en arriere. Lorsqu'elle vit
les hommes s'arreter brusquement et ne comprennant pas pourquoi. Elle
recula d'un pas pour fuir, sentant un mauvais coup. Or a ce moment,
elle heurta comme une sorte de mur, puis passa sa main dessus. Elle
senti a ce moment un corps, ouvrant grand ses yeux elle se retourna
appeuré, une larme coulant sur sa joue, puis s'effondra au sol. Elle
vis derriere elle, se dresser fierement un orc. Un orc qu'elle vit
comme un sauveur mais a la fois appeuré par cette masse de muscle.


L'orc baissa la tete, puis regarda
la naine. Il sorti un grande lame, puis releva Mushu et la fit passer
derriere elle. Il s'approcha doucement, un visage colerique,
regardant les hommes a tour de rôle. Les quatres avalerent leurs
salive, puis ils commencerent le combat, sans doute par fierté.
L'orc lacha son arme, puis a tour de rôle, coucha chacun des hommes
au sol. Une fois le combat fini il reprit son arme et revient vers la
naine, un petit sourire tendre marquer sur son visage.


La naine face a lui, avait les yeux
brillants, versant des larmes silencieuse sur son visage. Elle sauta
dans les bras de l'orc ne sachant comment le remercier.


Depuis ce jour, vous verrez souvent
une petite naine au yeux emeraude et a la chevelure sanguine, sur le
dos d'un orc guerrier appelé Grabokh.

Le début ne correspond pas à la mythologie naine du monde de lineage, les pouvoirs et les cultes que tu prètes aux nains et aux elfes ne correspondent pas à ce que le BG du serveur leurs prête

Elrond est juste son père adoptif, tout comme moi je le suis devenu (Elrond ne jouant plus).. je comprends pas où est le problème ? :/

le problème se situe dans la partie naissance de l'enfant lors de l'accouchement, le rituel avec le suicide de la mère et une prière adressée à un dieu inexistant et la magie elfique du dit Elrond.

(Il faut copier/collé dans le Bloc-Notes avant de coller sur le Forum quadn ça vient de OpenOffice)

Mushu est en absence pour le moment, on va régler son problème de BG dès son retour

Bonjour,

Je suis vraiment désolée pour les soucis que mon BG cause. Alors je vais vite tout rectifié.

Veuillez m'excuser si cela prend du temps, quelques soucis IRL ...

Encore désolée, je vais tout remettre en ordre. Promis.

PS: Merci grabounet pour ton aide :love:

Tu as juste le début à changer et c'est bon

Le fait que Elrond est son "père" (adoptif) je dois le changer n'ossi? Ou je peux le laisser?

Ca ne me parait pas problématique du tout, ou sinon autant problématique qu'un Orc t'adopte ensuite. Donc non, je pense que tu peux laisser Elrond 'tit Mushoire ;)

Michi mon n'ange

- te donne une chupa chups en cadeau -

Mushu, le problème ne vient pas d'Elrond ou d'un autre personnage mais seulement des cultes que tu leurs prêtes.

Un elfe ne sait pas faire pousser un arbre à partir du cadavre, les nains n'adressent pas de prière à un dieu inexistant avant de se suicider à coup de dague après la douleur d'un accouchement (à moins d'être atteint de folie aiguë xD)

UP

Alors voila je suis revenue. J'ai modifier mon BG comme promis.
J'explique un petit truc, qui ne ce sais pas dans mon BG a propos du suicide de ma môman. En fait le truc, c'est qu'elle a passer un pacte avec quelqu'un -mysterieuse- et donc pour que Mushuuu vive tranquille et sans ennui elle devait ce tuer une fois l'accouchement terminé. Hihi j'en dit pô plus

Alors voila mon bg :

Une femme recouverte par un drap noir terrifiait le peuple nains depuis quelques lune déjà. Une naine qui semblait plutôt jeune de pars le peu de visage que l’on distinguer d’elle, qui errer dans la nuit, dans un silence serein que même le bruit de ces pas n’osait rompre. Sa solitude semblait charmée par un vent de tristesse digne d’une tempête. Elle errer en tenant son ventre qui semblait être plutôt rond. Puis un beau soir de pleine lune des cris se firent entendre et par la suite des pleurs. Des pleurs d’enfant. Dans cette sombre nuit, la femme venait de mettre au monde une charmante progéniture. Mais les larmes de cette mère coulèrent sur son visage puis tombèrent sur la peau de son enfant. Cette mystérieuse dame ce trouvait devant une ancienne mine naine, qui elle même ce trouvait prés d’une clairière, dans l’eau la lueur de la pleine lune reflétait puis une prière ce fit entendre… :
A ce moment la mère posa son enfant au sol, puis une lueur verte jailli du sol, entoura l’enfant et rentras dans les yeux de celui-ci. Ce spectacle a l’allure de magie pure était plutôt magnifique. Or la suite l’était moins.. Alors que l’enfant pleurer, la mére le regarda puis l’embrassa sur le front.. Dans une finesse plus ou moins élégante, la femme voilée ce leva puis d’un acte magistral et vif sorti un poignard en argent de sa robe puis se transperça le cœur. Le corps agonisant de la mère tomba a genoux près du corps de l’enfant qui pleura de plus belle. Le sang entoura le bébé, qui fit coloré son crane.
Puis surgit un elfe plutôt étrange qui sauta d’un arbre. Il avait fière allure dans ses habits qui semblait noble, il avait dans sa main droite un arc en or. Ses cheveux blonds reflétait la lueur de la lune, une longue tresse lui passait sur le torse, puis au bout de celle-ci une pointe de flèche.. Il semblait gracieux et sage. Sans bruit il s’approcha du corps de la femme puis le porta prés de la clairière. Il le posa délicatement sur un rocher avoisinant. Quant a l’enfant il s’en saisi avec beaucoup de tact puis lui rinça doucement le visage avec une feuille de saule imbibé d’eau. En contact avec le crane du nouveau né la feuille devint glacé puis rouge. L’elfe ne sembla que plus ou moins surpris, il regarda de plus près la feuille puis la mis dans sa poche.
Le nouveau né, une fois « lavé » déposé sur un rocher tandis que le pâle se retourna vers le cadavre maternelle puis se mit a prier. A la fin de sa prière il se mis au pied d'un arbre, puis a l'aide d'une branche qu'il avait un peu arranger il ce mis a creuser un peu le sol finissant le reste de ses mains. Aprés quelques temps, les mains sales, il dressa la tête puis regarda l'arbre esquissant un fin sourire puis repris son regard sur le trou fraichement creuser qui servirait de tombe pour la mère déchue. Il retourna vers le corps puis le pris doucement. Il s'avança tête baissée vers la future demeure éternelle de la femme et une fois devant celle ci, un genoux au sol il posa avec autant de délicatesse possible le corps au fond du trou.
Une fois la tombe fermer de terre l’elfe contempla l’arbre puis s’inclina en signe de respect, il se retourna et contempla l’enfant a la lueur de la lune. Celui-ci possédait des yeux verts intense, d’une beauté troublante. Son crane était toujours de couleur rouge claire. Il déposa un baiser sur le front de l’enfant. Et chuchota doucement quelques doux mots a son oreille.
Le pâle regarda l’arbre une dernière fois. Puis enveloppa cette enfant des dieux dans un vêtement de soie. A la lueur de la lune on pouvait voir ses deux être s’eloigné, ne regardant pas le passé derrière eux.
Le peuple du village eu ouie dire de cette histoire, a compter de ce jour ,durant la saison de la naissance de cette enfant, chaque années, des fleurs et des offrandes sont deposer au pied de l'arbre. Les mères (ou futures mères) du village crois que en faisant ces gestes leurs amours envers leurs enfants seras bénits par les dieux et leurs progénitures auront les grâces de Maphr.

~
Dimerche Chwefror
Il y a maintenant 11 années de cela, dans une nuit argenté que cette enfant fut mienne. Onze années deja. . . Le temps passe t-il trop vite? Elle est maintenant grande.. Cette petite a qui j'ai donner le nom de Mushu. Cette enfant des dieux.. entouré d'un mystere intense. Onze années sont passé et je decide ce soir de confier mon coeur.
Onze ans, pleine de vie et d'ambition. Devrait je donc la laisser partir? Elle, que j'ai considerer comme mon enfant.. Ma fille, mon ange... Elle qui ne tiens plus en place, a la simple idée de decouvrir le monde et les êtres qui le peuple.
Dans tout les cas, je me doit de la laisser partir. Le peuple me rappel, je ne pourrais pas l'ammener avec moi pour ses tristes missions qui me sont confier.. Je ne doit pas lui infligé cette vie.. Cette vie de chasse et de reconstruction.
Aprés tout l'enseignement que je lui es donner, elle es apte maintenant. Je l'espere de tout coeur.
Dans l'espoir qu'elle ne perde pas les valeurs que je lui apprit au cours de ses années. Dans l'espoir que sa vie soit heureuse.
La fin d'une histoire, le commencement d'une autre. Sans doute et je l'espere fortement, que nos routes se retrouveront le plus vite.
Prince Elrond Tîwele


Ma chere Mushu,
Ma tendre fille, que j'ai elevé et formé. Mon amour, mon âme. Toi qui ma tant apporté sans le vouloir. Ces mots pour te dire simplement, que maintenant tu es parti. Et que je t'ai remis a ton depart ce livre vierge, dans lequel je souhaiterais que tu ecrive tes mots. Tel un journal intime, garde le precieusement. La plume que je t'ai mise dans le livre, est la plume de l'oiseau magique, du château dont je t'ai tant parler. Garde la precieusement et ecrit avec elle, cela me ferais plaisir.
J'espere que ta route seras bonne, parsemé de rencontre qui te feront evoluer. N'oublie pas, tu a un talent pour la conception de tout et n'importe quoi. Profite en. Evolue avec ce don et ta vie n'en seras que meilleure.
Quand a moi, je te porterais toujours dans mon coeur. Tu le sais aujourd'hui et je te demande de ne jamais oublier cela.
J'espere te revoir un jour, car je sais que a l'instant ou tu a franchi la porte de la maison mon coeur c'est emballer. Et lorsque je te reverrais jespere que tu seras capable de me battre encore en duel.
Mene une vie agreable, j'ai fait tout ce que j'ai pu pour toi et j'espere que cela fut suffisant.
N'oublie jamais a quel point je t'aime.
J'oubliais une chose, lace tes chaussures pour ne pas finir par te faire mal. Et ne prend pas trop de tes sucreries.
Ton pere.
Elrond.


~
Le commencement de l'aventure

Les mois passèrent doucement, tandis que la petite naine fit son chemin a travers des centaines de paysages. Son voyage parsemé de découverte et de rencontre en tout genre, fut écrit dans son livre avec la plume qui lui fut donner. Chaque petits événements fut rapporter a la lettre, pour satisfaire les derniers souhait d'Elrond.
La petite vie de la naine, durant ses mois fut paisible. Même si, au fond de son coeur d'enfant, rester cette terrible blessure d'avoir perdu ce qu'elle considérer comme son père. Ce sentiment, qui grandissait chaque jours en elle, fit d'elle un petit être faible qui marchait dans la mélancolie et s'y perdait au fil du temps qui tournait.
Les jours passait et la bourse rempli de la naine perdait de son ampleur. Alors, comme son maitre lui eu appris, elle mit c'est talent en oeuvre.
Tout d'abord, elle fit halte dans une petite ville où le passage était fréquent. Ayant parcouru les environs et trouver une maison abandonné dans laquel elle posa bagage, elle décida d'y ouvrir son atelier. Avec des matériaux bénin et une canne a peche, elle reussi a se nourrir. En effet dans le village, il été peu commun d'etre doté d'un talent de constructeur et de pecheur. Ce fait etant donc une chose rare, le commerce de la naine fit franc succés.
Or, le village fut prevenu d'un danger ma foi benin mais fort genant : dans les villes voisines, des actes de banditismes furent alerté auprés des nobles des villes concerné. La naine, n'ayant nul crainte pour elle et sa ville ne se mit pas a l'abri et les affaires reprirent un cour normal.
Par une nuit douce et somptueuse, Mushu decida de partir pecher. Selon les dires de son pére : « la peche est plus fructueuse la nuit, lorsque le silence reprend son regne sur la terre »
Lors de cette petite partie de peche au grand air et surtout au calme, des bruits se firent entendre aux alentours. Legerement inquete et faisant mine de rien entendre, la naine vaquer a ses occupations. Lorsque soudain, des bruits de pas qui ce sont voulu discret ce rapprochèrent d'elle.
Lâchant sa canne a peche soudainement et sortant une petite dague de sa botte ( lacée qui plus est ), elle regarda attentivement puis apercu juste devant elle, quatre hommes. Quatre hommes aux allures de brigands. La dague pointé en leurs directions. Les hommes se rapprochèrent doucement dédaignant a leurs tours leurs armes sales, tachés de sang.
D'une voix forte et autoritaire, le plus grand et le mieux armé des hommes prit les devants, réclamant a la naine son argent et tout ce qu'elle avait. Celle ci, refusant formellement de céder d'une telle sorte ses biens, fut donc confronter a la violence du regard des hommes sur elle. A ce moment, elle senti le danger. Tandis que les trois hommes qui était positionner a l'arrière se rapprochèrent doucement, prêt a l'attaquer, elle remis la dague a sa botte puis serra rapidement ses lacets. Les hommes s'approchèrent de plus en plus rapidement tandis qu'elle rester de marbre face a eux, les yeux fermer comme attendant. Les trois hommes sautèrent sur la naine, sur le regard dominant de leur maitre. Malheureusement pour eux, la naine d'une rapidité hors du commun et grâce a sa petite taille était déjà passer entre leurs jambes. Le maitre des hommes hurla de la suivre et de a tuer.
Durant quelques minutes une course entre les arbres et les maisons de la ville fut engager. La naine ne désirant ameuté toute la ville, se fit discrète essayant tant bien que mal de ce faufiler entre les maisons. Mais ce qu'elle n'avait pas prévu, était le fait que les hommes l'avait, sans le vouloir, encerclé autour d'un petit croisement. Les trois hommes arrivèrent sur la place, par trois chemin différent, avec derrière l'un d'eux leur maitre esquissant un fin sourire surnoi.
La seule issu possible était le chemin sombre, qui se dresser derrière Mushu. Ce chemin étant connu pour être très dangereux, car rempli de trous assez profond, que l'on ne peut pas distinguer clairement dans la nuit.
Les hommes se rapprochant doucement, elle ce décida en avalant sa salive de reculer doucement dans la fameuse ruelle. Restant face aux hommes pour veiller leurs mouvement, d'un pas incertains elle fit sa route en arrière. Lorsqu'elle vit les hommes s'arrêter brusquement et ne comprenant pas pourquoi. Elle recula d'un pas pour fuir, sentant un mauvais coup. Or a ce moment, elle heurta comme une sorte de mur, puis passa sa main dessus. Elle senti a ce moment un corps, ouvrant grand ses yeux elle se retourna apeuré, une larme coulant sur sa joue, puis s'effondra au sol. Elle vis derrière elle, se dresser fièrement un orc. Un orc qu'elle vit comme un sauveur mais a la fois apeuré par cette masse de muscle.
L'orc baissa la tête, puis regarda la naine. Il sorti un grande lame, puis releva Mushu et la fit passer derrière elle. Il s'approcha doucement, un visage colérique, regardant les hommes a tour de rôle. Les quatres avalèrent leurs salive, puis ils commencèrent le combat, sans doute par fierté. L'orc lâcha son arme, puis a tour de rôle, coucha chacun des hommes au sol. Une fois le combat fini il reprit son arme et revient vers la naine, un petit sourire tendre marquer sur son visage.
La naine face a lui, avait les yeux brillants, versant des larmes silencieuse sur son visage. Elle sauta dans les bras de l'orc ne sachant comment le remercier.
Depuis ce jour, vous verrez souvent une petite naine au yeux émeraude et a la chevelure sanguine, sur le dos d'un orc guerrier appelé Grabokh

Validé.

Serieux?

-sors la bouteille de champomy et l'agite -