rénom : Enydrial
Nom : Koringlil d’Ardosabesh
Age : On suppose 300 ans
Alignement : Chaotique neutre
L’ENFANCE
L’histoire commence dans le royaume des Kamael, une vie calme et paisible, loin des guerres et des conflits de ce monde. Mais notre attention se tournera néanmoins en direction d’un petit male bien connu des villageois, Enydrial.
Enydrial : « youhouu haha, tu ne m’attrepera pas ! »
Marchand : « Petit voyou reviens ici ! Par sahya je le dirai à tes parents !! »
Et oui … notre petit bonhomme était un chapardeur de première, malgré l’éducation rigoureuse qu’il reçu de ses parents, il aimais rendre fou ses camarades, et marchands en leur jouant des tours, les taquiner. Il prenait néanmoins ses études au sérieux, tant par l’esprit que par le corps, comme si inconsciemment il savait qu’il aurai besoin de déjouer les pièges et les catastrophes que la vie lui réservai …
En effet, entre deux imbécillité il étudiais beaucoup, ce qui lui value de développer un sens de la réflexion aiguisé, il s’entraînait durement à soulever de lourdes épées, et a chasser de petit animaux pour obtenir un grand sens de l’instinct et de l’observation, de la vitesse, de la force.
LA NAISSANCE DU MERCENAIRE
Les années passèrent, le petit garnement était devenue un adulte, fort et fier. C’étais un grand jour pour lui, oui … ce jour, ou tout a commencé.
Enydrial : « Miriline … je … enfin, nous y sommes. »
Miriline : « hi hi oui nous y sommes mon cher et tendre. »
Enydrial : « Je suis tellement … »
Elle lui posa un doigt sur la bouche.
Miriline : « chuuut, je sais, ne te force pas, tu n’a jamais été très doué pour exprimer ce genre de chose … je suis heureuse de devenir ta femme, tu n’a pas besoin d’en rajouter. Mais ton petit coter charmeur il va falloir le changer !»
Et oui … bien élevé, et charmeur ! Notre Enydrial aimait beaucoup jouer avec la flatterie. Bien que les Kamael ne ressente pas de sentiment d’amour, certains se marient pour ne pas rester seul dans leur coins, et prennent soins l‘un de l‘autre. C’est comme … une simulation d’amour poussé a l’extrême, ils vont parfois jusqu’à avoir des rapports sexuel même si ils ne ressent aucun plaisir physique.
Il sourit, acquiesça d’un signe de la tête, lui prit la main, et se dirigea vers le prêtre. Ce fût jour de grand fête dans ce village Kamael, mais à la fête succède toujours les problèmes.
Miriline : « *soupir* Bien … nous devons y allez, j’espère que tu sais ce que tu fait, moi aussi j’ai soif d’aventure, je te suivrai, mais c’est risqué. »
Enydrial : « Je sais ma douce, ai confiance, je te protégerai. »
Miriline : « Heeey ! Je suis assez grande pour me protégé toute seule MOSIEUR. Hi hi »
Enydrial : « *ricane* toi alors … allez, vite … »
Nos deux jeune marié avaient effectivement choisie une voie bien périlleuse … le tempérament vagabond d’Enydrial le poussa à choisir le métier de mercenaire, mais aussi pour chercher la fortune, sont désire le plus secret était de couvrir sa femme d’or pour lui offrir, plus tard, une vie paisible et calme.
Miriline qui aurai suivie sont amant jusqu’en enfer, choisie le même destin.
Les affaires étaient parfois fleurissante, parfois difficile, leur fabuleux duo pouvais exécuter toute sorte de contrats, renseignement, assassinat, protection, vol, n’étant pas impliquer dans les conflits actuel des races, ils pouvaient se mouvoir plus ou moins librement sur le continent, ayant de bonne relation avec tout le monde, ou presque.
LE DESASTRE
Leurs clients savaient qu’ils étaient fidèle au contrat signé, et avec une sommes adapté tout était possible avec eux. Puis un jour, pendant une promenade …
Enydrial : Miriline, tu sais … j’aimerai te dire quelque chose, quelque chose d’important, nous avons souvent frôler la mort tout les deux, et … enfin, j’ai peur pour toi, tu devrai me laisser finir les contrats en cours. »
Miriline : « je m’en doutais … je sais ce que je risquais en te suivant, laisse moi te suivre, a deux nous sommes invincible ! »
Enydrial : « Et bien hmmm … »
Il fut interrompu par des sifflement, quelque chose lui frôla le visage, des flèches, des dizaines de flèches sifflai dans leur direction.
Ni une, ni deux, il prit sa femme par le bras, et couru derrière un arbre, brandi sa lourde épée, et dit a Miriline de ne pas bouger … elle avait été blesser au bras, ne pouvant plus utiliser pleinement ses capacité d’arbalétrier.
Enydril : « Hey ! Bande de lâches !! Venez la au lieu de nous envoyer vos flèches ! »
Il fonça en direction de l’endroit d’où les flèches semblait venir, sauta dans le buisson a toute vitesse, trancha des têtes, coupa des bras et autre atrocité …
Enydrial : « Étrange … un peu trop facile je trouve, c’est biz … MIRILINE !! »
Un cris se fit entendre au même instant, c’étais Miriline. Notre courageux être ailé retourna vers l’arbre il l’avait laissé, c’étais proche, mais pourtant trop loin … Elle n’était plus la, sont arbalète au sol, taché de sang. Il leva les yeux au ciel et vit, au loin, comme un dragon, probablement une wyvern s’enfuir haut dans le ciel, tenant Miriline dans ses griffes, vivant, ou morte, ils étaient bien trop loin.
Enydrial : « NOOOOOOOON, SALE POURRITURE JE TE RETROUVERAI !! »
Il savait … oui, il connaissait le kidnappeur, c’étais certainement la wyvern d’un de leur client, il s’en rappelle, pour avoir augmenté le prix d’un contrat suite au risques encouru, ce baron belliqueux, les menaça sans jamais rien tenter contre eux … et pourtant, cette fois, il tenais la seule chose capable de faire plier la volonté de du Kamael, sa femme.
Quelques heures plus tard, il arriva enfin au château du baron, complètement vide, un mot sur le trône.
« messire le mercenaire, si vous voulez votre femme, il va falloir payé … et pas en or mon ami, non … pas en or, je vais la maintenir en vie, pour qu’elle souffre autant que vous. Peut être a bientôt, ou alors à jamais ? Bonne chasse. »
Enydrial : « Sale petit …. »
Il s’effondra les genoux au sol, tapant du poing, plein de colère et de rage, avec maintenant pour seul compagnie sont épée nommée « Victoire » se jurant de retrouver un jour cet individu, ce … baron.
L’ERRANCE
Avant de partir, il se mit a fouiner dans l’armurerie pour éventuellement trouver des objets utiles. Puis il tomba sur une drôle d’épée, une épée qui n’aurai pas du être la, une épée ancienne, tout comme sa « Victoire » mais différente.
Il fit disparaître sont épée, et prit celle-ci a pleine main.
Enydrial : « Quelle puissance … comme c’est étrange que … »
Une voix se mit alors à retentir dans sa tête.
Voix : « Toi, Kamael, toi qui maîtrise les épées anciennes, toi seul est digne d’utiliser ma force, mais pour cela, tu vas devoir m’offrir quelque chose … »
Enydrial : « Quoi ?! Mais je … »
Il se senti prit de douleur atroce dans le bras, pourtant il ne pu lâcher cette épée, il criais de douleur, une petite pierre se forma au dessus de lui, puis se fit absorber par l’épée, qui rayonnai, pleine d’éclair.
Voix : « Cher maître par le présent sacrifice d’une partie de ta vie, nous somme lié, je m’appelle Funèbre, et tu vas pouvoir profité de ma puissance … Enydrial. »
Enydrial : « Quoi ? Mais non ! Je ne … enfin … oh et puis pourquoi pas … j’ai déjà perdu ma cher et tendre, pourquoi pas un peu de ma durée vie … »
Sa nouvelle épée sur l’épaule, il partit arpenté le monde à la recherche de sont épouse.
Les jours, les mois passèrent, il faisait jouer tout ses contacts, sans succès … aucune trace de Miriline. C’est en se reposant dans la ville d’Aden, qu’une elfe qu’il avait déjà rencontré se mit à lui parler. Ils discutèrent longuement, il raconta sont histoire, de longues heures passèrent, finalement …
Enydrial : « Je suis touché que tu t’intéresse a mon histoire, à mes problèmes … je vais t’offrir quelque chose, prend en soins. Elle s’appelle « Victoire ». »
Enydrial leva le bras, et sont épée tomba du ciel pour atterrir dans sa main.
Enydrial : « Seul les Kamael peuvent normalement touché ce genre d’épée, sauf si ce dernier la donne de sont plein grés, mais n’espère pas pouvoir te battre avec … c’est juste un souvenir, j’espère qu’elle te plait. Adieu maintenant, je doit partir jolie demoiselle. »
Il s’enfuit à toute vitesse, le cœur plein de tristesse, de rage et de haine, mais aussi d’espoir.