NOM : Otori
PRENOM : Lydie
AGE : 17 ans
SEXE : Femelle
ALIGNEMENT : neutre
CARACTERE : gentille et parait très calme, a le don de s’énerver facilement quand on touche à ses amis ou à sa famille.
Je suis née dans un petit village au sud ouest d’Aden, un soir de pleine lune.
Mes parents m'ont prénommé Lydie à cause de cette étincelante lune qui se reflétait sur mon visage. J’ai été élevée par mes parents dans le bonheur et la sincérité.
Vers l’âge de mes 16 ans mon père me dit qu’il fallait que j’observe ma mère cela pendant toute une semaine, je le fis mais sans en avoir le cœur, avoir des livres dans mes mains et les étudier que c’est fascinant… Puis elle devait utiliser sa magie dans des champs d’entraînement. Pour moi c’était d’un ennuie, même la vie chez moi était plus paisible.
A l’âge de mes 17 ans, je demandai une faveur à mon père pour que je puisse regarder son entraînement, son accord ne fut pas simple à avoir. Quelques jours plus tard mon père céda à mes caprices.
Les jours qui suivirent, je me levai tous les jours très tôt pour savoir quand est ce qu’il m’emmènerait avec lui, j’ai juste du attendre une semaine au plus je ne sais plus très bien.
Et ce jour là, le soleil commençait juste à se lever. Nous partions mon père et moi. C’était pour moi la première fois que je voyais le château de si près. Mon père dit bonjour aux gardes et puis ils nous ouvrirent la grande porte du château. Nous sommes entrés dans la salle d’armes royales, puis nous rentrions dans la cours qui était d’une surface impressionnante.
Les entraînements avaient déjà commencé. Mon père finit de s’équiper après il commença.
J’observai avec fascination cet entraînement intensif. Puis ça me lassa rapidement de les voir faire alors j’appelai mon père. Il était en plein combat c’est à ce moment là que je l’ai perturbé et il a perdu son combat. Il était furieux, avec sa grosse voix il dit:
_Que me veux tu ma fille?
_Je voudrais essayer, je suis fascinée par les gestes, la légèreté et la vitesse de vos mouvements, je lui répondis.
_Ma fille ton avenir ne peut être que comme ta mère une magicienne, dit mon père.
_Cela ne m’intéresse pas et je ferais comme toi père.
Un de ses compagnons d’entraînement me dit d’un ton moqueur :
_Tu ne saurais même pas te servir d’une lance.
Je lui répondis d’un air déterminé:
_C’est ce qu’on va voir!!!
_Tu ne sauras même pas la porter, il me dit.
Je fis volte face, je courus dans la direction de l’armurie royale. J’enfilai une armure et pris une des plus belles armes qui était entreposée.
Je partis rejoindre ces hommes qui se croyaient mieux que moi. Le même compagnon ria en me voyant arriver.
Je demandais à mon père une chose, un défi contre cet homme qui rit devant moi et j’imposa mes contraintes. Celles ci étaient que si je gagnais je continuerai l’apprentissage à la lance et si je perds je ferais l’apprentissage de ma mère. Mon père n'y vut aucun inconvénient puisqu’il savait que j’allais perdre.
Je me tournais alors vers l’homme qui riait. Je lui dis haut et fort «viens te battre si tu es un homme» en le montrant de la lance. Il me répondit «vient fillette ton avenir est déjà scellé.»Je regardai mon père, inclinai la tête et chargeai. L’homme fit de même mais je fus la première à attaquer, ma lance passa près de sa tête. Je parais ces coups comme si cela était d’une facilité. Il eut un moment d’inattention, je saisis cette occasion pour me baisser et frapper le plus fort possible au niveau de ces genoux. Il tomba à terre, je mis la lance sous sa gorge.
Mon père tomba par terre. Je répondis à l’homme «la prochaine fois que tu ris, fais attention que je ne sois pas dans les parages.». Puis je me retournai, je vis mon père à terre, courus le voir.
_Comment as tu pu me faire ça à moi me dit mon père.
_ Père tu as promis que si je gagnais, je pourrais faire cet entraînement.
_Ma fille je te l’ai promis alors qu’il en soit ainsi.
Les jours qui suivirent se ressemblaient, aller au château, s’entraîner et rentrer à la maison. Je suis devenue de plus en plus forte avec de plus en plus d’agilité et de rapidité dans mes gestes.
De temps en temps je vis le Baron à son balcon qui regardait notre entraînement. Puis les jours passèrent et on vit de plus en plus le Baron a son balcon.
Un jour, ma mère tomba malade à cause d’un sort de magie utilisé à mauvais escient. Donc je dus rester à ses côtés au cas où son état empirait. Ce jour là mon père rentra assez tard enfin plus tard que d’habitude. Il nous dit que le Baron lui avait parlé sur ces compétences. Dès que ma mère ne fut plus malade, je repris l’entraînement mais je vis que mes compagnons se laissaient presque battre volontairement. Certaines rumeurs se sont mises à circuler comme quoi le Baron avait trouver une nouvelle femme.
Les préparatifs du mariage ont commencé le lendemain. On ne connaissez toujours pas qui était la mariée. Je trouvais ça de plus en plus étrange, puisqu’il y avait trop de choses qui me dérangeait. Mon père n’était plus le même. Les compagnons d’entraînement qui devenaient vraiment faibles et le Baron qui restait au balcon. Je compris sur le coup que mon père m’avait fait ce coups là.
Je partis discrètement du château. A ce moment là, les trompettes royales se firent entendre. Je courus le plus vite possible en direction de chez moi. Je pris mes affaires à toute vitesse et quand je voulus sortir, les gardes étaient devant la maison. Je me cachai dans la maison. Un garde passa dans la pièce puis un deuxième. Ils ne me virent pas, ils repartirent vers le château au cas où j’y étais encore. Je me mis à penser quelques minutes pour laisser le temps aux gardes de partir. Pourquoi devrais je épouser ce Baron que je n’ai jamais mais alors jamais vu de près. Je fis mes valises et courus en direction d’une grande ville nommée Aden. Je ne revis pas mes parents. Le seul objectif que j’ai, c’est de montrer aux hommes que les femmes savent se battre, en continuant de m’entraîner.
Sur le chemin un oiseau messager se posa devant moi avec un message accroché autour d’une de ses pattes. J’attrapa l’oiseau avec douceur et lu le message. C’était marqué «Jeune Lydie tu ne trouveras jamais le grand bonheur sauf si tu m’épouses.». A la fin de ce message il y avait une signature officielle mais je ne savais pas d’où elle parvenait. Je ne pris guère attention à ce morceau de papier. J’avais enregistré ces quelques lignes dans un petit coin de ma tête, que j’oubliai assez rapidement. Je repris mon long voyage vers ces terres d’Aden comme ci de rien était.
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Sujet: Lydie [ humaine ] ![Lydie [ humaine ] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/subsilver/icon_minitime.gif){kind=icon}
8/5/2009, 13:52
