[BG Humain] Karl

Prénom : Karl
Nom : Dion
Race : Humain
Age : 20 ans
Sexe : Mâle
Alignement : Neutre Bon
Caractère : Prend la vie avec une façade calme, mais il est en réalité très stressé par les choix qu'il doit faire maintenant et plus tard. Il fait toujours de son mieux.
Description physique : Carrure normale, cheveux cours, yeux brun, 6 pieds et un quart de pouce.
Signe(s) particulier(s) : Karl est hyperelastique, lunatique, joueur et boite la plupart du temps. Affiche un air triste naturellement et sourit très peu et il a un regard animal.
But(s) : Prouver aux autres qu’il peut lui aussi, accomplir des choses et devenir quelqu’un.


Résumé du passé du personnage-Parce que tu penses que je ne fous rien de ma vie c'est ça? J'vais te prouver que je ne suis pas si minable que ça!
Karl tourna alors le dos à son père qui était par terre suite à une bagarre entre père et fils. Karl ne prit même pas le temps de dire aurevoir à sa mère qu'il aimait beaucoup, ni à sa grande soeur. Il partit comme cela en ligne droite, refermant la porte derrière lui. Cela lui brisait le coeur de partir, mais il le devait, non pas seulement pour fuir, mais il le devait pour lui-même. Son père semblait en attendre trop de lui. Il fallait absolument qu'il soit légal de son cousin, l'héritier de la famille de Dion. Ce cousin se nommait Louis, le fier soldat de son père et l'exemple à suivre de Dion. Karl n'était pas fait pour cette voie, dès sa naissance, les événements se sont mis contre lui. L'empêchant d'être
efficace en certaines matières ou en le privant tout simplement. Un exemple, à sa naissance, il eut un accident et il eut l'épaule cassée, blessure qui n'a jamais vraiment guéri. Sinon il y a un problème encore plus dégradant pour lui. Il semblerait qu'il souffre d'un syndrome assez étrange qui se joue sur ses muscles et ligaments de son corps. Ceux-ci sont plus élastiques que la normale et de ce fait, il lui faut beaucoup plus d'énergie et de force pour faire les choses normales. Alors, avec tous ses problèmes... Karl n'a pas pu être admis à l'académie, même si son père avait fait jouer ses relations avec son oncle. Karl était le fils indigne d'un père dégouté. Pour ce qui était de sa mère, elle était comme lui, douce et calme et fragile sur le plan émotif. Karl avait la même tâche de naissance que sa mère et les deux pouvaient passer de long moment ensemble sans se parler et être bien. Même si d'autres fois, elle le regrettait amèrement. Puis il y avait sa grande soeur, Maryline. Naïve et idiote, elle réclamait toujours de l'argent pour vivre une vie dorée avec ses nombreux amoureux. Karl lui enviait une seule chose, son intelligence.

Quelques fois, Karl était le centre de la famille, surtout dans les situations délicates. Son père parlant dans le dos de sa mère et de sa sœur, sa mère parlant dans le dos de son père et de sa sœur et sa sœur parlant dans le dos de son père et de sa mère. Il devait toujours choisir quoi dire et ne pas dire, s’il échouait, une guerre se déclenchait et tout le monde était contre lui. Karl était bien seul. C'est pour cela qu'il s'isolait de plus en plus, s'enfermant dans sa chambre ou fuyant dans les champs le jour. C'est grâce à sa quête de liberté que son père lui a fait le plus beau cadeau qu'il n'a jamais espéré avoir, il eut un chien à lui, un beau pure race de trois mois qui lui fit chaud au coeur. Jamais il
n'avait réussi à créer de véritables liens avec les gars de son âge. Il n'était capable que de s'attirer la gente féminine à l'aide ses belles paroles et de ses poèmes à l'eau de rose. Encore une fois, dans le cercle infernal féminin, il fut prisonnier et les filles lui demandaient toujours les conseils à savoir, comment elles pouvaient courtiser tel gars etc etc. Les filles ne le prenaient pas pour un amour probable, mais plutôt comme un ami. Cela l'agaçait au plus au point. Surtout à la fin de l'adolescence, lorsqu'il tomba amoureux d'une dénommé Natasha dans son cours de langue. Ils travaillaient toujours en équipe et les deux connectaient très bien, mais encore une fois, il eut le coeur brisé lorsqu'elle lui demanda finalement un conseil pour attirer un autre jeune homme. Il en avait marre qu'on le ridiculise. Il brisa les liens qu'ils avaient, lâcha les études et prit un petit boulot en ville. Son père ne voulait pas qu'il travaille, car son fils ne devait pas être autre chose qu'un noble soldat ou mieux encore.

Karl perdit le fil des choses rapidement, les événements se basculaient autour de lui sans qu'il ne puisse comprendre. Un matin, il se leva tôt et trouva son père dans le salon avec des bouteilles d'alcool vide et des élixirs pour le sommeil. Son père fut dans le coma durant trois semaines. Sa mère et sa soeur pointaient du doigt Karl, car il était là à cause du malheur de leur père. Il avait essayé de s'enlever la vie tellement il était déçu de son fils. Puis, il eut un autre accident, cette fois-ci avec sa mère. Elle s'était jetée devant une charrette commerciale allant à toute vitesse. Elle ne succomba
pas, mais elle fut grièvement blessée. Peu de temps après cela, Maryline qui avait décidé de vivre avec l'une de leur grand-mère avait aussi essayé de s'enlever la vie. C'est cette tentative, qui blessa profondément Karl jusque dans l'âme. Il avait passé deux jours avec sa soeur et moins de deux heures après son départ, sa soeur s'ouvrit les poignets avec une petite dague. Heureusement que la grand-mère était là pour la sauver.


C'est donc après la suite d'événement les plus troublants que Karl est devenu comme cela. Les gens autour, le voyaient et le pointaient du doigt, car il aimait mieux passer du temps avec son chien qu'avec les humains. C'est aussi là qu'il développa une psychologie particulière. Il se mit à voir la vie à la façon d'un animal ou du moins, il essayait. Cette capacité lui est venue instinctivement en fait. Il se mettait à grogner lorsque qu'il était en colère et il regardait le monde avec un oeil animal, un oeil de prédateur. Tout cela dura jusqu'à ses dix-huit ans.


Dès les premières semaines de ses dix-huit ans, tout commença à se dégrader encore plus. Son chien fut tué en pleine nuit par des voyous et Karl développa alors une nouvelle capacité, celle de la rage. Il savait exactement qu'elle groupe de petits vauriens avait osé lui lacérer le coeur en le privant de son seul ami et il alla le soir même réclamer vengeance. Le petit groupe de crétins sans cervelles s'était réfugié à la taverne de la ville pour se saouler de leur méfait et Karl arriva. Il arriva dans la taverne avec un regard que personne ne lui connaissait encore. À cette heure, plusieurs jeunes adultes étaient à la taverne, des gens avec qui il avait passé plusieurs années d'études même. Karl se fichait éperdument des autres, il n'était fixé que sur sa proie qui s'appelait étrangement Carl. Cet enfoiré avec deux sbires pour le défendre et il les prit un par un. Tout le monde présent dans la taverne n'osa plus bouger, car en dix-huit Karl n'avait jamais été violent, il était la victime et là, une énergie l'envahissait lui prodiguant
la force de combattre les brutes. Il assomma le premier en un seul coup-de-poing au visage, tout en lui fracturant le nez. Le deuxième était tout aussi surpris de le voir ainsi et il eut le souffle couper par une rafale de coup à la poitrine avant de s'effondrer en
gémissant. Quant à Carl, celui-ci il n'y alla pas de main morte. La rage était à son comble et il l'emprisonna contre un mur et lui assena plusieurs coups de tête au visage, de plus en plus forts. Comme si la douleur augmentait sa rage. Néanmoins, Karl était un humain et comme tout humain, des coups à la tête fait perdre connaissance. Karl et Carl s'effondraient laissant les spectateurs seuls jugent de ce qui venait de se passer.


C'est deux jours après son réveil qu'il se batit contre son père et qu'il quitta la maison. Rien de bon ne pouvait lui arriver dans cette ville et encore moins avec ces gens. Il partit à dix-huit ans chez sa grand-mère aveugle qui habitait Giran. Cette femme était la seule qui aimait Karl. C'était une fervente religieuse et elle disait qu'elle voyait des anges autour de lui le protégeant du mal. Karl ne croyait pas à ces bêtises, car trop de malheur lui était arrivée. Elle disait aussi que lorsque Karl était jeune, il avait, lui aussi le don de voyance, mais que son père lui a fait perdre avec ses nombreuses
obsessions. Il réussit à avoir un petit répit psychologique dans la cité de Giran et à ses vingt ans où il s'engagea dans la milice locale comme recrue à temps partiel. Dans les mêmes temps, la pauvre grand-mère succomba de vieillesse et légua quelques armes que son grand-père possédait. Ensuite il prit un logement à la caserne, vivant comme un soldat et oubliant son ancienne vie. Au début, les autres le prenaient presque pour un vrai noble dû
à son sang, mais il s'entêta à refuser cette destinée. Il n'était pas né dans la famille principale et n'était aucunement voué à régner un jour. Donc, il ne voulait que se mêler à la foule...

Je n'ai pas compris du tout l'histoire de l'hyperelasticité?

Veux-tu parler d'hyperlaxité? C'est à dire que les amplitudes de mouvements de tes articulations sont plus dévellopés que la normal?

pas vraiment c'est un vrai syndrome que je souffre également IRL.

Disons que c'est les gymnaste qui en souffre le plus souvent...

Cela ne se voit pas, sauf s'y on me met une camisole de force, la je peut l'enlever XD IRL également XD

ok

Je valide après correction orthographique

its done

je crois