(BG-Vamp) Vlad.

(Veuillez m'excuser, mais a cause d'un probleme lié a mon
editeur de texte probablement,le récit sera compressé,semblera plus long ,
mais au moins, il sera aéré )

1-La prison de pierre.

« Mon château est assiégé,la guerre ,a Schuttgart ,restera dans les mémoires , j'en fais le serment, puisque Einhasad est avec moi. »

« Les soldats sont fatigués, leurs armes émoussées, ils sont tous blessés ou affamés,les elfes que nous avons délogé sont revenus,avec des renforts, en maintenant la bataille est perdue. »


Voici deux des seuls écrits que nous avons retrouvés a Schuttgart, ils ont été écrits au tout début de la Grande Guerre et nous viennent,semblerait-il,du Comte Vlad Orlok Mahoran de Schuttgart lui même. A cette époque, peu d'humains se rebellaient contre les géants comme lui l'a fait. Le début de la guerre, les faibles humains, chiens domestiqués des géants ,ont reçus l'aide du peuple elfe pour sa libération, et en a même appris la magie.


Le Comte est un personnage très important de l'histoire de l'humanité sur nos terres,puisqu'il est le premier a avoir créé un bastion de résistance stable aux assauts des géants, mais une grossière erreur diplomatique qui de nos jours ne saurait revoir le jour, l'a mis en froid, lui et le peuple qu'il a entrainé derrière lui, avec les êtres vivants surces terres avant qu'ils ne les prennent de force.


Le reste des écrits retrouvés a Schuttgart vous en dira surement plus que je ne saurais jamais vous apprendre sur son histoire.


« Bien... Les Elfes avancent, leur magie nous ratisse et leurs archers nous déciment, mais nous sommes des humains, plus nombreux, plus musclés, plus forts, plus endurcis , nous ne pouvons perdre cette bataille.

Le nouveau peuple de Schuttgart m'a hissé a son sommet car je suis celui qui les a fait fuir, et permis de trouver des lits chauds, des toits contre la pluie et de la nourriture cuite. Nous avons été asservis par les Géants, mais nous ne sommes pas des chiens, nous leur montreront , a tous.

En l'état actuel des choses, nous ne sommes guère plus de quinze cents hommes dans les murs du château. Le village est entièrement contrôlé par les Elfes,et aucune nouvelles humaines de quelque contrée de ce vaste continent.

Au sein de notre communauté, un petit groupe d'hommes a toujours prié une déesse, la Déesse Créatrice: Einhasad, et je suis intimement convaincu que c'est grâce a elle que nous sommes aujourd'hui en lieu relativement sur, et grâce a elle, nous vaincrons l'oppresseur. »



« La déesse ne nous a pas abandonné , nous avons vaincu la première cohorte d'Elfes, mais il me semble qu'il y en a toujours plus que la veille. Ces êtres seraient-ils divins, et aurait une capacité a se multiplier lorsqu'ils sont a l'article de la mort?

Voici maintenant plus de 34 périodes de grands froids que je vois défiler, mais jamais je n'ai vu tels guerriers, frêles mais rapides,maigres mais agiles,loin mais précis,petits mais puissants. C'est a n'y plus rien comprendre»

2-Le malheur.

« Aujourd'hui, et pour la première fois depuis longtemps,nous allons ouvrir les portes pour profiter de l'extérieur, nous avons vaincu, les elfes se sont retirés, les éclaireurs que nous avons envoyés sont revenus sains avec des bonnes nouvelles: le village a subit beaucoup de dégâts,mais nous saurons le rebâtir.

Cette nouvelle paix m'emplit de joie et jamais mon âme n'a été aussi proche d'Einhasad, j'aimerais tant pouvoir la remercier de ce don qu'est la liberté, elle, notre Mère, nous feront bâtir des temples et statues en son honneur partout dans le village, chacun doit savoir qui nous a libéré, bien que les villageois m'acclament toujours, je ne suis que le porte-parole de la divine Mère de la Création.

Je ne suis qu'humain,le premier Comte humain de Schuttgart, titre que j'ai empreinté aux Elfes présents avant nous,ces terres leurs reviendront a condition de laisser en paix le peuple que j'ai mené jusqu'à la liberté.

Aujourd'hui, moi, Comte Vlad Orlok Mahoran de Schuttgart, suis le plus heureux des êtres pensants de ce monde.Ma vie a servi a accomplir la chose la plus grande qu'un humain a jamais pu rever d'accomplir. »



« Les portes ont de nouveau été fermées,les elfes ont été vue non loin d'ici, un grand campement d'où émanait la lumière et la musique, l'odeur de la bonne nourriture et de l'alcool.Nous ne voulons pas prendre le risque de mettre en péril nous frères et sœurs,et attendrons le retour de notre chargé de négociations pour décider de quoi que ce soit, en attendant, les villageois sont nourris, logés au sein même des murs du château. »



Comme vous pouvez le voir, l'écriture
des textes suivant n'est plus celle du Comte, elle semble féminine
et le contenu en témoigne:



« C'est la panique, Monseigneur Vlad est mort,un elfe a réussi a se faufiler dans le château, nous ne savons pas quand, nous ne savons pas comment il est resté caché si longtemps,mais il a poignardé notre Comte,la blessure était empoisonnée, et il en est mort, en quelques heures a peine,nous avons retrouvé sa croix d'Einhasad brisée dans sa main,et des larmes sur ses joues. Vlad Orlok le Pieux aura toujours une place dans le cœur de ceux qu'il avait réussi a sauver,sa foi sans égale lui aura sans doute permit de rencontrer enfin la douce Einhasad que nous adorons tous, la croix dans sa main au moment de sa mort est un signe particulièrement touchant, un exemple pour tous,il l'aimait tellement qu'il la priait en mourant, serrant toujours plus, et ses prières ont été entendues,il est maintenant au près de notre Créatrice.

Puisse son âme être en paix après tout ce qu'il a fait pour nous.

A Monseigneur Vlad le Paladin,Libérateur de la race.

Senna Walès,a Schuttgart. »

Interlude.

• Vous êtes dans une salle de l'enseignement de magie de l'ile des murmures, petite île d'érudits de la race humaine, un inconnu entre, cheveux noirs longs,les yeux d'un bleu clair pénétrant, électrique, sa peau est pale,très pâle, probablement un homme du nord, mais que vient-il faire ici?
  

• Il se dirige droit vers l'instructeur, qui le salue de la tête, l'inconnu rend le salut, lui donne une liasse de papiers accompagnés de quelques mots: « Voilà ce que vous recherchiez,Professeur. ».Et sans demander son reste il s'en va.
  

• Votre instructeur parcourt des yeux la première feuille, et sur son visage se peint une expression d'extrême surprise, d'effroi, de colère, il pose les feuilles sur son pupitre en cachant du mieux qu'il peut ses émotions, puis dit simplement, d'une voix chevrotante: « Nouvelle leçon, oubliez l'ancienne, l'atelier lecture est maintenant fini.»
  

• Devant ces phrases, la surprise vous envahit a votre tour, et un brouhaha monte de la masse de camarade étudiants a vos cotés, vous décidez de vous renseigner, quel qu'en soit le moyen. Et l'occasion rêvée se présente,le Professeur est demandé par un cardinal a l'extérieur de la salle. Vous vous précipitez au pupitre en bois et parcourez le tas de feuilles, ne prenant que celles sur lesquelles sont inscrites les lettres:VOMdS.
  

• Le Professeur ne vous a pas vu, vos camarades ne disent rien, vous attendrez d'être au dortoir pour lire votre trouvaille.
  

• Une fois dans votre dortoir, vous entreprenez de lire les papiers, en les classant par ordre chronologique, ceux-ci sont bien plus récents que ceux présentés par votre Instructeur,mais la chose qui vous frappe le plus , c'est
  la date du dernier, pourtant écrit de la même et inimitable écriture que les anciens papiers déchirés présentés dans la leçons d'Histoire des Terres. Sa date,votre date d'anniversaire, mais votre anniversaire était il y a jour pour jour une semaine, l'année est la même que celle d'aujourd'hui, un jour ou le Comte devrait être mort,enterré,dévoré par les vers,rejeté et transformé en engrais. Vous décidez de lire, a la lueur de votre bougie.
  

3-Lettres posthumes ?

« Voici la suite, et fin, du conte du fameux comte
Vlad Orlok Mahhoran de Schuttgart,que je raconte.
Quelques siècles après sa mort,triste fin pour
Un Seigneur que de finir saigné a blanc pour
Avoir amené la liberté dans des terres qui
Jamais n'auraient pu la connaître sans lui.
Je vénère et j'adore celui qui fut pour tout un peuple
Bien plus qu'un simple meneur, un grand libérateur,
Il est celui qui a forgé votre vie d'aujourd'hui, a cette heure,
Et malgré cela jamais je n'ai aperçu le peuple
Eriger un temple, un autel, une statue en sa mémoire,
Si peu noble fût elle, puisque noble proclamé et volé
Mais cela n'enlève rien a mon personnage, si ce n'est pouvoir
Lire aujourd'hui ce que sa main a écrit sur lui et son succes. »




« Trêve de plaisanterie, et voici ses dernières paroles:

Comte, mort empoisonné par un ennemicaché,voici la pire des fins auxquelles je m'attendais,cet Elfe m'apris au dépourvu pendant que j'écrivais, la blessure n'est pas profonde, mais je sens mes membres se paralyser lentement,d'ici quelques heures je serais mort surement. Pourquoi moi? J'ai pourtant été si bon avec les miens, personne ne manquait de rien, les prêtres m'assuraient que Einhasad était avec moi, et moi voilà mourant, sur ma chaise avec ma plume à la main, un papier que personne ne lira jamais et un énorme sacrilège au cœur, j'ai fait forgé une croix représentant ma foi envers Einhasad,je la porte constamment autour du cou, je prie chaque matin, chaque jour, chaque nuit, et me voilà mourant tel un cadavre déjà enterré. Atterré,je ne peux plus supporter la douleur, voici mes dernières minutes et dernières paroles de vie, la misérable vie que m'a accordé Einhasad pour me la reprendre sans prévenir,me laissant présager tout du mieux, et maintenant,laissant un peuple entier aux mains d'un ennemi qui sera sans doute sans pitié avec eux comme il l'a été avec moi.




Einhasad ma déesse, Einhasad mon bourreau

Einhasad mon rève et désormais mon cauchemare

Einhasad ma mère que je voudrais de voir


Einhasad,Ô Einhasad, pour te supplier

De bien vouloir me laisser la force,

D'enserrer ton maigre cou de mes minuscules mains.




Einhasad Ô Einhasad, a tout jamais, quoi que tu fasse pour ton pardon, je te renie.
Que les Enfers t'acceuillent a bras ouverts. »





« Voici ses dernières paroles de son vivant, mais pas les dernières paroles de son existence, intrigué? Vous lisez ceci a la lumière d'une bougie dans la couchette de l'école des mages de l'Ile qui fut autrefois l'Ile aux Revenants?Tournez donc cette page et découvrez alors le sort terrible que notre bien-aimé Vlad s'est réservé! »

(suite et fin demain)

(re, pas le courage cette semaine, je finirais ce weekend, je prends déjà vos critique si tant est qu'il y en a )

Refusé en attendant la suite...