(BG elfink)

Nom: Elfink
Alignement: Bon
Race: elfe
métier: soigneur
caractère: de nature très calme il ne faut néanmoins pas le chercher. S'il s'énerve la seule façon de le calmer est de le mettre à terre.
age: nul ne le connait il s'est fait oublier bien trop longtemps mais une chose est sure il a largement dépassé la centaine.




L'histoire

Dans une forêt d'Aden une petite communauté peuplée d'une centaine d'elfes
vivait en paix avec les différents éléments, et passait son temps à prier la déesse Eva.
Un des jeunes mages nommé Elfink effectuait son tour de garde dans la forêt qui bordait son village.
Au bout de quelques pas, une odeur infecte le fit avoir un haut le coeur,
surpris par cette puanteur il chercha dans les fourrés d'où elle
pouvait bien provenir, quand tout à coup il sentit un souffle parcourir
sa nuque.
Pris de panique il virevolta et se trouva nez à nez avec un colosse vêtu d'une
épaisse armure noire qui recouvrait sa peau de couleur verte.
L'elfe dégaina une fine lame, avant même qu'il puisse se mettre en garde une
atroce douleur aiguë parcourut ses entrailles, Elfink se crispa et poussa un
gémissement terrifiant. Le colosse vert marqua un sourire qui dévoila des épaisses dents jaunies, et lâcha quelques mots en direction de l'elfe:

-Hum n'ait aucune crainte, tu retrouveras les tiens d'ici peu de temps.

Elfink plié de douleur glissa sa main sur son torse maculé de sang, sa vision
devint trouble et il s'effondra sur le sol, inerte. Le colosse marmonna
quelques mots:

- Allons mes frères marchons faire couler le sang de ces elfes.

Dans le petit village tout était calme et un petit groupe d'elfe priait au pied d'une statue en silence. Quand tout à coup une hache alla heurter le crane d'un des elfes de plein fouet, la carcasse de ce dernier gisait, le crane fendu par la puissance du choc.
Des cris rauques et graves se firent entendre et tous les elfes pris de panique couraient dans tous les sens.

-Brisez leurs os, déchirez leur chairs, arrachez leurs membres, que plus un ne
tienne debout mes frères, cria une voix emplie de rage.

Les elfes hurlaient:
-Les orcs ! Les orcs nous attaquent ! Aux armes défendez votre village !

Les deux races s'engagèrent dans une bataille sanglante. Les haches déchiraient le corps des elfes, les masses brisaient leur crane. Les lames aiguisées entaillaient les chairs des orcs, les flèches percèrent leurs peaux.
Un vacarme sans nom s'en suivit, le sang mouillait le sol de la ville, les
cris de douleur et les pleurs remplaçaient le bruit des oiseaux et des
chutes d'eau. Les elfes combattaient la peur au ventre alors que les orcs étaient guidés par une haine et une excitation rarement vue, les guerriers tombaient les uns après les autres hurlant et gémissant de douleur. Au petit matin plus un bruit; un silence de mort avait recouvert le village et la forêt. Au sol des orcs et des elfes, femmes, enfants, tous les villageois étaient étendus sur le sol, rien ne troublait le silence glaçant de la foret, mis à part quelques grognements et ricanements, qui faisaient entendre deux cris de victoire comme si des prédateurs revenaient d'une chasse fructueuse.

Des corbeaux s'attroupèrent près du jeune Elfink quand tout à coup celui-ci bougea un doigt puis une main puis son bras tout entier ensanglanté, l'elfe rampa jusqu'aux dépouilles des siens. Il était jeune mais avait un certain talent pour la magie et malgré son état il tenta de sauver ceux qui pouvaient l'être... sans succès.

Elfink ne dit plus un mot, il resta là 3 jours entiers sans bouger ni pleurer.

Au bout des trois jours, un cri se fit entendre: "POURQUOI POURQUOI RAAAAAAAAAAAAAAA"


L'elfe prit ce qu'il restait à prendre et partit seul dans la forêt où il erra sans fin. La solitude était pesante mais elle lui donnait une certitude, celle de ne jamais revivre le massacre de ceux qu'il aime.

Au bout de cent ans, il décida de revivre à nouveau parmi les siens et partit sur les terres d'Aden à la recherche de compagnons

Il est temps à présent pour moi de renaître !!!

voila dsl il doit en rester g fait ce que g pu c pas mon fort l'orthographe

C'est bon